Que les vacances commencent, le jour tant attendu est arrivé ! Les valises sont préparées, tout comme nous le sommes. Maman et Papa Adrien nous accompagnent à l’aéroport en ce jour de départ tant attendu !
Après avoir récupéré nos amis Alexis et Laurie-Anne sur la route nous voilà au complet pour partir. Nous allons partager deux semaines de vacances avant de commencer notre vie de Digital Nomad (télé travailleur à l’étranger).
Nous avons pris un petit café afin de retarder un peu plus le grand moment de la séparation…
Une fois les au revoir effectués nous voila livrés à nous même 😥
Le premier vol a duré 4h dans un 737 un peu vieillot, des sièges rustiques, un écran tout petit, peu de films, des écouteurs intra-auriculaires de mauvaise qualité… C’était mal parti, et on avait surtout peur d’avoir le même avion pour les 12h du prochain vol !
Fort heureusement le deuxième vol était un 737 MAX, sièges confortables (pour de la classe économie 😆), un écran super grand, beauuuuuucoup de films récents et un casque plutôt bien ! Nous voila rassurés.
Après 12 heures à dormir, regarder des films, manger, se lever de temps en temps pour se dégourdir les jambes, nous voilà arrivés à Jakarta. Comme nous changeons de compagnie, il nous faut récupérer les valises, remplir les formulaires de douane, sortir, refaire le check-in, déposer les valises, passer les contrôles de sécurité et aller jusqu’à la porte d’embarquement. Tout cela au pas de course, car nous n’avons qu’une heure et demie d’escale !
À notre descente de l’avion, une chaleur étouffante et une humidité enveloppante nous ont accueillis chaleureusement, laissant peu de doutes quant à notre présence à Bali ! 🌴
Une fois les formalités douanières achevées et nos valises récupérées, nous avons quitté l’aéroport pour chercher un distributeur automatique (ATM) afin de retirer des roupies indonésiennes. Cependant, à peine dehors, un chauffeur de taxi s’est approché de nous, nous proposant de nous conduire à l’hôtel à un « good price ».
Forcément, on se doutait qu’on se faisait arnaquer, mais la fatigue et l’heure tardive ont eu raison de notre méfiance. Petit stop en cours de route pour retirer de l’argent et acheter une carte SIM dans la boutique détenue par les amis du chauffeur, car encore une fois selon lui, ils appliquent des « good price »… Enfin bref, on achète le minimum pour payer le taxi et la carte SIM puis nous verrons demain.
Comme vous pouvez l’imaginer, la journée s’est finie à l’hôtel sur un lit bien douillet. Malgré tout, une légère mélancolie nous a envahis avant de nous endormir, alimentée par l’idée que nous ne retournerons chez nous que dans quatre mois. Le mal du pays était-il déjà en train de se faire sentir ?